Boules

Catégories : Fist dilatation extrême
il y a 9 ans

Pendant vingt ou trente ans, ma voiture était équipée d’un attelage dont la boule servait, trois ou quatre fois chaque année, à accrocher une remorque et, au moins une fois par semaine, à me ramoner les entrailles, de temps en temps à travailler la chatte et le cul de Marie.

Rien qu’à voir cette boule, j’avais le cul qui frétillait. Je ne pouvais tout de même pas m’y empaler dans la rue, cela n’aurait pas été légal, mais je le faisais souvent chez moi, dans la cour ou au garage, dans des parkings et souvent dans la nature : je m’arrêtais dans un endroit tranquille, de préférence dans un bois, ce qui, je ne sais pourquoi, m’excitait particulièrement, et, à poil chaque fois où j’en avais le temps, je m’empalais bien à fond, la raie des fesses venant buter sur la tige d’attelage et me branlais en frétillant bien du cul pour me faire passer des vibrations dans tout le corps, m’astiquant la bite jusqu’à faire couler le jus gluant dont je léchais chaque goutte. Sur la vidéo de Fessestivités « Elle s’empale sur l’attelage », très belle vidéo que je recommande, une femme enveloppe soigneusement la boule dans un préservatif avant de s’y empaler par la chatte, la dite chatte portant d’ailleurs deux anneaux à chaque lèvre et un au capuchon du clitoris, ce que je trouve très excitant merci ACL69. Personnellement je ne mettais jamais de préservatif à la boule ; je l’essuyais tout de même bien s’il y avait de la graisse.

La boule d’attelage n’est pas la seule avec laquelle je me ramone le trou du cul, ― je dis bien ramone et pas ramonais car je continue ―, celle d’un levier de vitesses fait bien l’affaire, sauf pour les têtes triangulaires de la commande de certaines boîtes automatiques, malgré mes efforts je n’ai pas réussi à me les rentrer dans le cul.

Mais il en est d’autres que je préfère encore, celles couronnant les poteaux qui, en ville, servent à empêcher les voitures de monter sur les trottoirs ; il y en a de tous les diamètres, il n’y a que l’embarras du choix. Le problème, c’est que cela se passe toujours en centre-ville : il est bien difficile de trouver un moment où il est possible, non pas de se mettre à poil, même à deux heures du matin je n’en ai jamais eu l’occasion, mais même de baisser le froc, la solution c’est de découdre ou déchirer le jean à l’arrière pour s’empaler sans que personne n’y fasse attention.

Pour Marie, le plus difficile est de trouver la boule dont le diamètre lui convienne pour se la prendre dans la chatte ou dans le cul ; une fois la boule choisie, c’est très simple : il suffit qu’elle soit à poil sous une robe, elle s’assied tout naturellement sur l’un de ces poteaux, même en plein jour et dans un endroit très fréquenté, comme aux abords du palais du Luxembourg à Paris. Les automobilistes, ni même les passants, ne s’aperçoivent de rien, mais Marie jouit, et moi qui sais ce qui se passe, j’en frémis d’aise et le souvenir de ces moments m’excite beaucoup quand je me retrouve dans un lit avec Marie, ou ailleurs, avec elle, ou avec une copine compréhensive ou même seul. Si vous n’avez pas encore eu l’idée, vous devriez essayer.

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